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L’évolution de la filiation adoptive

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Mise en place du Conseil National de l’Adoption

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Communiqué de presse

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La faute au social-nativisme

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Communiqué de la FFOAA et du MASF

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Communiqué Ukraine

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Sang d'encre

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Lettre à Adrien Taquet

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ADOPTION - PRATIQUES ILLICITES – RECHERCHE DES ORIGINES

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C'EST TOI QUE J'ATTENDAIS

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CNPE : Avis 2021 – 7

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 les chiffres Adoption Internationale 2019

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UN ARRÊT RASSURANT DE LA COUR DE CASSATION

balance justice

 

 

Le 5 décembre 2018, la Cour de cassation a rendu un arrêt important puisqu'il affirme sans ambiguïté que le recours contre l'arrêté d'admission en qualité de pupille de l'Etat, qui rend l'enfant adoptable, n'est plus recevable après son placement en vue de son adoption dans la famille agréée choisie pour lui.

 

Après le bonheur procuré par le film Pupilles, c'est un signe rassurant qui est adressé aux enfants concernés et à leurs familles : la Cour de cassation, faisant prévaloir la sécurité du placement de l'enfant dans sa nouvelle famille - affirmée par la loi Veil du 11 juillet 1966 -, sur la contestation tardive des membres de la famille biologique, ne permet pas à ceux-ci de s'opposer au processus de l'adoption régulièrement engagé et de demander la restitution de l'enfant.

 

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